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G A V R I L. Poisson d'avril. { here i am }

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Gavril Y. Bychkov


Gavril Y. Bychkov

Messages : 11
Date d'inscription : 14/10/2009
A g e : 16 ans
C i t a t i o n : « Pour une carotte, le lapin représente le mal absolu... N'est il pas? »


Y O U R . S E C R E T S
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MessageSujet: G A V R I L. Poisson d'avril. { here i am } G A V R I L. Poisson d'avril. { here i am } EmptyMer 14 Oct - 17:05

[list]

    G A V R I L. Poisson d'avril. { here i am } 87645aa


      Gavril ( Yann) BYCHKOV ;
      16 ans, 2ème Année.
      .


    Parce qu'on ne dit jamais tout,

      « Regardez vous, pauvre mortel, vous qui n'avez que vos yeux pour pleurer, qui êtes tels des moutons à qui on donnerait suffisament de foin pour qu'ils soient rassasiés et qui se contenteraient de cela! Je ne suis pas comme vous, je suis Gavril! »
      Toujours assoiffé, pouvoir, sang, désir charnel. Gavril a cet espèce de don, qu'il considère tantôt comme une tare, tantôt comme la plus belle chose du monde, et surtout, la plus agréable. Regardez le dans les yeux mes amis, regardez le dans les yeux, et vous ne supporterez plus la lumière du jour. Un vampire vous ôtera tout cela.

      Spoiler:




      le moldu que vous êtes ;

        pseudo : Karibouuh
        âge : 16 printemps (:
        personnalité de l'avatar : Mitch Hewer =3
        personnage prédéfini : Non
        comment avez-vous connu le forum ? Euuh. Mystère et boule de chewing gum!
        suggestions quelconques : Non. Mais bordel, votre forum est sublime, surtout le contexte qui change beaucoup des autres choses que l'on peut trouver. Chapeau bas maestro!
        code du règlement : code bon, par cast.


Dernière édition par Gavril Y. Bychkov le Jeu 29 Oct - 17:38, édité 5 fois
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Gavril Y. Bychkov


Gavril Y. Bychkov

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MessageSujet: Re: G A V R I L. Poisson d'avril. { here i am } G A V R I L. Poisson d'avril. { here i am } EmptyMer 14 Oct - 19:23

ce que nous voulons savoir ;

    J'ai peur, à en faire palir le roi de tous les lions, qui sont pourtant réputé pour leur courage à toute épreuve. De la sueur froide coule le long de mes omoplates, mais s'évapore rapidement avant même d'avoir atteint mes reins. Je ne sais pas comment me tenir, réagir. Ma voix en serait presque bloquée, au fin fond de ma pauvre gorge. Ce matin, je n'ai même pas pris le temps de me raser, je ne ressemble strictement et tristement à rien, quelques point bruns poussant sur mon menton malgré la blondeur platine de mes cheveux. Je ne comprendrai décidément jamais mon anatomie. Cachés derrière des lunettes rectangulaires, les yeux du directeur me dévisagent sans aucune retenue. Cela a la fâcheuse tendance de me mettre mal à l’aise. Il esquisse un sourire et prend enfin la parole :

    « Donc, monsieur … euh... »

    Il ne dit plus rien. Silence. J'aime ça... Devrai je le faire languir plus longtemps? Ou alors lui confier ce qui me reste de mon existence de vivant? Un nom, quelques lettres liées entre elles, qui finissent par donner quelque chose de soit disant ''beau''. J'hésite. Mais devant les yeux bienveillants de cet homme, que je connais depuis un an déjà, je décide de faire une petite exception. Ca ne pourrait me faire du mal de donner un peu de ma personne.

    « Bichkov. Gavril Yann Bichkov. »

    Il hoche la tête, comme s’il s’en rappelait, désormais, et me sourit de manière complice. Je regrette tout d'un coup d'avoir rendu les armes si vite. On aurait pu rire, avec ce silence pesant et misérable qui aurait pu s'installer. Mince... Exécrable. Ma mauvaise humeur va vite prendre le dessus, surtout si on y ajoute envers et contre tout le stress qui me scie les entrailles depuis le début de la journée. A vrai dire, ce n'est qu'une sensation à proprement parler, pas un battement de coeur accéléré, pas une respiration haletante. Comment pourrai je à présent?

    « Vous avez donc 16 ans, désormais, et vous rentrez en seconde année. Dites-moi, pourquoi pensez-vous que vous avez votre place à Veuvnoir ? »

    C'est la meilleure... Une question que je ne m'étais jamais posé, et que je ne me serai surement jamais posé. A quoi cela rime-t-il? Un interrogatoire sous des airs de simple entretien de courtoisie?! Oh. Je devrai arrêter quelques minutes de réfléchir, ce n'est pas bon pour moi... De toute façon, le Psychoice devrait savoir pourquoi je suis ici. Après tout, ce n'est pas moi qui ais choisi cette maison. On m'y a envoyé, sans me demander mon avis... Je suis perplexe. Test de personnalité? Ou alors il va dresser mon profil psychologique pour m'envoyer dans un asile de fou. Je divague beaucoup trop... Concentre toi Gavril. Tu n'as rien à perdre tu sais, c'est juste une routine, quelque chose qui ne peut que te faire un bien fou.
    Au bord de la crise de nerf, je me rassois correctement, et, dans une infime délicatesse, pose mes deux coudes sur le bureau. La politesse n'est pas mon fort, et là, je fixe le directeur dans les yeux, y cherchant (on ne sait jamais) une réponse à sa question dans les profondeurs de ses pupilles noires de jais, cachées derrière des verres presque transparents.
    Mon moi tout entier était peut être destiné au clan des Veuvnoir, par son appartenance, et par sa noirceur. Je ne sais pas, je ne sais pas.

    « Les tréfonds de l'âme sont impénétrables... » fier de moi, je laisse passer quelques secondes, puis, naturellement, je me rassois sur ma chaise, nonchalant. Se dévoiler n'est pas jamais facile, surtout pour quelqu'un qui n'a quasiment jamais eu à le faire. « Mon âme, elle n'appartient qu'à moi même. Si elle s'envole, tel est mon problème, si elle est mauvaise, colérique ou je ne sais quoi, j'estime savoir qui je suis, pourquoi je suis et où je vais. » Mes propos sont d'une incohérence sans précédent, mais je ne reviendrai pas dessus. Le directeur a dû comprendre. Et si tel n'est pas le cas, je ne peux rien me reprocher... La folie me guette.
    Et, comme si c'était un automatisme, je rabas mes cheveux blonds en arrière, et remets en place le col de ma chemise. J'essaie tant bien que mal de ne pas laisse paraître le malêtre qui me fracasse à cet instant. L'affrontement avec l'autorité n'est pas mon fort...
    Il sourit à nouveau, et je me demande ce que cela peut signifier. Il ne me laisse pas le temps de réfléchir plus longtemps, puisqu’il enchaîne immédiatement :

    « Si vous deviez m’en dire un peu plus sur vous… par quoi commenceriez-vous ? Je ne sais pas, moi, quel genre d’élève êtes-vous, quel ami ou quel ennemi êtes-vous ? »

    Les masques vont tomber. MON masque va tomber... Je ne suis pas non plus dans le genre schizophrène en phase terminale, mais ça n'en est pas loin. Et, pour la première fois depuis le début de cet entretien, je baisse le regard, cherchant quelque chose sur quoi me concentrer. La fenêtre? Trop vaste... Les papiers? Trop près du directeur. Que faire? On ne m'a jamais appris à me confier, ''sois fort mon fils''. Telles étaient les paroles d'un père qui voulait le plus bel avenir pour son chérubin. S'il savait ce que ce petit garçonnet à la tignasse couleur du soleil était devenu. Il mourait une deuxième fois.
    J'hésite, bégaye... Par où commencer? Je ne me connais que par fragment.

    « Vous désirez réellement que je parle de ma personne? Je n'y arriverai pas entièrement. Certains points sont et resteront dans mon cerveau. Je préfère de loin vous prévenir. » Mes ongles blancs et parfaitement coupés pianotent frénétiquement sur le bois du bureau, j'espère secrètement ne pas avoir à passer cette ''épreuve'', mais il a l'air décidé à me faire parler, son sourire paternel le justifiant plus que tout. « Une partie de moi se veut drôle, même si cet humour est loin d'être gai... J'aime les blagues noires, d'ailleurs, dans les dortoirs, j'affiche ma ''blagounette du jour'' sur la porte d'entrée, qui n'est pas toujours du goût de tout le monde, il faut le dire. Puis n'y a-t-il rien de mieux que le rire pour adoucir le monde dans lequel nous vivons? Certains le pourissent par leur présence néfaste... » C'était le mot de trop j'aurai du arrêter ma phrase juste avant, mais, continuant sur ma lancée, je renchéri mes paroles. « J'essaie toujours de ne pas m'énerver, ce qui échoue la plupart du temps. Mes humeurs sont presque célèbres car les quelques élèves qui ont croisé mon chemin dans un jour d'irritabilité profonde s'en souviennent encore. Je me plais aussi à dire que mon talent dans l'art de la magie est presque inégalé. Moi? Arrogant? Détrompez vous, il n'y a rien d'arrogant dans le fait de se croire supérieur aux autres. C'est juste une façon de penser comme une autre, une philosophie à part entière. » Maintenant, il va penser que je suis mégalomane, ce qui n'est pas faux... Mon égo est immense, j'aime que beaucoup de choses tournent autour de ma petite personne, que les gens s'intéressent à ce que je fais, c'est un peu pour cela que je fais profiter tout le monde de mes dons en magie. « Et comme vous avez pu le constater sur mes bulletins, mes notes sont exemplaires, il va sans dire! Et de plus, mon don pour la musique montre ma virtuosité, cela canalise mes sautes d'humeur... Surtout lorsque quelqu'un s'avise de toucher à mon bébé. Oui, j'évoque ici mon violon... La plus belle invention du monde lorsque l'on sait en jouer! »

    Je me tais, devant son regard inquisiteur, qui veut bien dire ce que je pense: mon attitude, quant à elle, est insolente et hautaine. Je ne me canalise pas facilement, et dès qu'un professeur me contredit, je ne me contrôle plus, et ma rage est un fléau. Mon corps tout entier ne répond plus qu'à l'instinct de destruction, qui se répand dans mes veines inertes. Comme si je devenais une autre personne, un être à part, vile gentil homme au coeur de pierre. On ne me reconnaît pas, c'est un fait avéré, nul autre être vivant ne sait ce que je peux ressentir dans ce genre de moment.
    Mais, à cause de tout cela, je me vois souvent envoyé dans une salle que je hais et redoute: la retenue. Rendez hebdomadaire et presque quotidien de tous les cancres de cette école qui ne se plie pas aux règles que l'on nous impose, pour courber l'échine plus bas encore.
    Je pense en avoir dit assez, ce vieux n’a pas besoin d’en savoir plus sur moi, aussi je décide de me taire, en observant ses réactions. Ne se rend il pas compte que c'est la première fois que je parle autant à un représentant de la haute autorité? Je n'ai pas l'impression. Il ne me connait pas assez pour dire cela... Il voit juste le reflet de ma personnalité sur le bout de papier qu'est mon bulletin trimestriel. Et à ma grande surprise, il se contente d’hocher calmement la tête, un sourire énigmatique aux lèvres, griffonne quelque chose sur une feuille et relève ses yeux vers moi.

    « Étiez-vous heureux avant de venir ici, à Aspera ? »

    Le bonheur ne dépend que de la personne elle même. Un petit garçon est heureux lorsqu'on lui offre une voiture télécommandé, alors qu'un adolescent n'en a que faire. Si seulement rien ne s'était passé, si seulement personne ne m'avait fait de mal. Je ne serai pas comme je suis aujourd'hui... Mais, bizarrement, j'aime avoir été persécuté. En quelque sorte maso, je me plais à avoir eu un père tortionnaire qui, à mes yeux, a été presque juste. Ma mère n'étant pas là, il a dû remplir les deux rôles, du moins, il a essayé. N'est pas député débordé qui veut. Il faut entretenir la réputation, sa cruauté et même son mauvais fond dans toutes les circonstances. Et qui plus est, lorsque l'on vient d'une Roumanie pauvre.
    Je ne me suis jamais reconnu dans cet homme, qui m'a élevé quatorze années durant, à la sueur du front de ma nourrice. Elle, elle est partie le jour où mon géniteur s'en est allé, emporté par je ne sais quelle maladie. Mais, à ce moment même de la conversation avec le directeur, je me rend compte que je ne dis rien. Muet... Je n'aime pas raconter cet épisode de ma vie, je n'aime pas non plus évoquer ma vie actuelle tout court.
    « Croyez vous être assez proche de moi pour entendre tout cela? Mon bonheur ne regarde que moi... Avant d'arriver ici, je n'étais ni heureux, ni malheureux. Je nageais dans quelque chose de banal, dans la vie d'un orphelin qui vit dans un endroit plus que déplaisant tiraillé entre les disputes de son oncle et de sa tante, et l'attachement qui le lie à sa cousine. »
    Daciana... Une petite puce d'un an ma cadette. La prunelle de mes yeux, elle est tout pour moi, le seul point fixe de mon horizon si flou. Je me réjouis dès que son sourire éclaire les couloirs sombres de cette école. Quiconque touchera à son corps aura affaire à moi. Ce n'est pas un amour dans le sens cartésien du terme, mais fraternel. Quelque chose d'incompréhensible, un attachement sincère. Elle m'a toujours encouragé pour tout, soutenu même. Surtout lorsque mon oncle a fini par briser mon violon, seule chose qui me rattachait à mes racines. Et elle, elle m'a toujours défendu, malgré le fait que mon caractère devrait lui insciter à faire le contraire.
    Mais je continue: « A en croire certain, ça serait presque de l'inceste. Mais eux, ils n'y comprennent rien, il ne savent pas ce que ma vie a été... Ils ne savent pas ce que c'est de se faire fouetter au martinet dès que l'on fait quelque chose de travers alors que vous êtes heureux de retrouver la personne qui fait que vous êtes dans ce monde. Ils ne savent pas ce qu'est la perte de cet être. L'absence de tendresse féminine, l'absence de toute forme de gentillesse... »
    Une fois de plus, il hoche calmement la tête et j’en viens à me demander s’il m’a réellement écouté, ce que je ne supporte pas le moins du monde. Il écrit sur sa feuille et relève les yeux vers moi.

    « Et maintenant ? Je veux dire, à Aspera, comment vous sentez-vous ? Vous est-il arrivé de mauvaises choses, ici, ou au contraire, des choses exceptionnelles ?
    - Je dois dire qu'Aspera est un échappatoire, un petit bonheur... Quelque chose ici me met en joie (rire sarcastique) Même si tout n'y est pas parfait, j'y ai fait quelques bonnes rencontres, que je compte à présent dans mes amis proches. Sans dire que je suis populaire... »

    Je me rappelle soudain un épisode fâcheux de ma vie passée entre les murs de l'école. Même si j'en ai honte, j'aime me le remémorer, comme si le malheur de cette perfide demoiselle me donnait du plaisir. Mais oui. C'est ça le mot: plaisir.

      Flash Back: ON

      « Gavril... Tu devrais t'asseoir, le prof va encore t'envoyer en retenue si jamais tu fais un écart de plus, tu vas en payer le prix fort, alors arrête toi! »
      Debout au milieu de la salle de ma première année à Asperia, je parle tout haut avec Ewen. Je ne comprends pas tout à faite les paroles de demoiselle Kirsty P. Op'toog qui, en bonne première de la classe, n'arrête pas d'écouter, d'aimer les lectures superficielles. Qu'a-t-elle depuis quelques temps? Elle ne cesse de me rabaisser, voire même de me protéger de moi même... Je me demande bien ce qui lui prend, elle qui n'a jamais suscité un grand intérêt pour ma petite personne. Je ne prête que peu d'attention à ses paroles à peine murmurées.
      Elle devrait savoir que rien ne m'atteint, je suis Gavril! Je sens son regard dans mon dos, un regard pesant et inquisiteur. Trouverait elle que je vocifère? Et dans un élan de bonté, je daigne lui adresser quelques paroles, rondement menées: « Ma chère Kirsty, tu devrais savoir que ma vie ne regarde que moi et que ta protection ne m'apporte rien. A bon entendeur, salut!  »
      Cette pimbêche de grosse tête au caractère bien trempé n'a pas l'air d'apprécier ma remarque, à mon grand déplaisir, puisque je la vois arriver vers moi et frapper ma joue avec une telle force qu'un bleu s'y formerait presque. Déboussolé, je reste bouche bée devant cela... Elle que je pensais douce, elle que je pensais calme vient de m'humilier.
      Ne sait elle pas qu'un jour, je me vengerai, que tout changera dans sa pauvre vie misérable? Non. Elle ne connait pas le vrai garçon, celui qui a un mauvais fond, qui rit du malheur des autres et qui aime surtout le provoquer. Je ris, je jubile en attendant ce jour même!

      Exactement une semaine après ce fâcheux incident, j'attends patiemment mon bourreau à l'entrée du réfectoire, alors que le soleil montre le bout de ses rayons à l'horizon. Le matin, je sais très bien ce qu'elle fait: s'habiller, se maquiller légèrement pour faire ''naturelle'', attendre ses copines aussi intelligentes qu'elle et descendre enfin savourer un exquis petit déjeuner au couleur de leur maison. Ne manquant pas l'appel, elle marche d'une manière qui m'horripile mais me fascine en même temps. Je n'ai pas le temps de laisser place à mes interrogations, je surgis devant elle, sourire sadique aux lèvres et petite surprise dans la main droite. Comme j'ai oublié ma baguette magique dans le dortoir que les heures étaient comptées, je me suis retrouvé devant le fait accompli: improviser. Mon âme d'enfant a privilégié le gâteau à la crème... Un petit clown, n'est il pas?!
      Et là, la pâte blanche et visqueuse dégouline le long de ses cheveux, et arrive même jusqu'à son uniforme, qui devait être propre avant mon intervention.
      « GAVRIL YANN BYCHKOV! Comment as tu osé?! Bouse de dragon dégarni! »
      Pris dans un fou rire que rien ne peut arrêter, je la laisse s'énerver, pleurer de rage et même me frapper tellement ma folie a pris le dessus. Des moments comme ceux là, ça ne mange pas de pain...


      Flash Back: OFF

      « Et sinon, vous avez une petite amie? Ou un petit ami , je ne sais pas, moi. » me demande-t-il avec un sourire taquin.

      Je n'en reviens pas d'en fait apprécier cette fille là, qui m'horripile pourtant plus que quiconque... Mais elle, elle me hais, elle me méprise même. C'est bien cela qui me fait du mal et du bien à la fois. Tiraillé entre tellement de sentiments différents que mon égarement est de plus en plus grand.
      Kirsty... J'ai autant envie de la prendre dans mes bras que de la jeter de la plus haute tour de l'école pour voir ce que ça pourrait faire.

      « L'amour n'est pas pour moi... Que ce soit fille ou garçon, très peu réussissent à m'émouvoir. Voire personne. Mais l'ouverture d'esprit est mon maître mot en matière purement sexuelle sachez! »

      Son sourire s’agrandit à ma réponse, et il reprend plus calmement, en me fixant droit dans les yeux :

      « Diriez-vous que vous êtes fou ? »

      « Si on se fie au compte de rendu de certaines personnes... Mais il y a peut être une part de vérité là dedans! »

      « Pensez-vous avoir plusieurs personnalités ? »

      « Oh oui, une bonne quinzaine, je pense même que Charles Manson se cache quelque part... »

      « Vous préférez la Magie Noire ou la Magie Blanche ? »

      « Les deux sont fascinantes. La Magie Blanche pour son côté naturelle et pure, et la Magie Noire pour sa face interdite et de pleine puissance qui nous fait perdre le contrôle. »

      « De quoi avez-vous peur ? »

      « Je nourris une phobie sans borne envers les araignées... »

      Le ridicule ne tue pas...

      « Dragibus ou Fraises Tagada ? »

      « Tous deux alléchants, je répondrai Dragibus. Car là, il y a un choix de couleur qui me laisse sans voix. »

      Toutes ces questions me font peur, après tout, c'est peut être lui qui aurait besoin de se réfugier dans un asile psychiatrique!

      « Bien, je vous remercie jeune homme. Vous pouvez retourner en cours, bonne journée. »

      « Merci, au revoir. »


Dernière édition par Gavril Y. Bychkov le Jeu 29 Oct - 17:43, édité 9 fois
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Cailean J. Raibeart


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MessageSujet: Re: G A V R I L. Poisson d'avril. { here i am } G A V R I L. Poisson d'avril. { here i am } EmptyMer 14 Oct - 20:43

    Bienvenue et merci de ton inscription !
    Bonne continuation (:
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Gavril Y. Bychkov


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MessageSujet: Re: G A V R I L. Poisson d'avril. { here i am } G A V R I L. Poisson d'avril. { here i am } EmptyLun 26 Oct - 13:06

Désolé du retard, j'ai des problèmes de connexion. Mais je vais essayer de finir ça d'ici ce soir ou demain.
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Nyx A. Svensson

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MessageSujet: Re: G A V R I L. Poisson d'avril. { here i am } G A V R I L. Poisson d'avril. { here i am } EmptyMar 27 Oct - 19:35

Okay mister Very Happy c'est noté
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Gavril Y. Bychkov


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MessageSujet: Re: G A V R I L. Poisson d'avril. { here i am } G A V R I L. Poisson d'avril. { here i am } EmptyJeu 29 Oct - 17:25

Je pense avoir terminé (:
Merci de m'avoir laissé le temps =DD
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Castiel A. Vel'Syne

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MessageSujet: Re: G A V R I L. Poisson d'avril. { here i am } G A V R I L. Poisson d'avril. { here i am } EmptyVen 30 Oct - 14:01

    welcome !

    quelques fautes qui se promènent mais rien qui ne puisse être corrigé, et ça ne m'a pas trop écorché les yeux, donc je valide !

    enjoy =D
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MessageSujet: Re: G A V R I L. Poisson d'avril. { here i am } G A V R I L. Poisson d'avril. { here i am } Empty

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