« Underneath the bridge The tarp has sprung a leak And the animals I've trapped Have all become my pets And I'm living off of grass And the drippings from the ceiling It's okay to eat fish 'Cause they don't have any feelings »

ta p'tite histoire ;

— Introduction.
Je vais vous conter ma vie, ce dont je me souviens, ce dont je crois me souvenir, et il vous faudra faire le tri entre mes souvenirs abîmés, parfois avinés, dont on pourrait presque imaginer les angles en arabesque de ces vignettes qu’il ne faut pas prendre trop au sérieux, et ceux, moins entachés d’illusions, douloureusement acérés, qui vous troubleront par la franchise désarmante dont ils feront preuve. Par ci par là, je sèmerais quelques pensées nébuleuses, sur lesquelles il ne faudra pas trop vous attarder, car elles ne sont là que pour vous dérouter, vous faire perdre le fil. Car si je me dévoile aujourd’hui dans l’optique de vous faire comprendre à peu près ce que je suis, il vous faut garder à l’esprit que malgré tout je me targue d’être de ces personnes qui cherchent continuellement à être incomprises, parce que cela leur donne la sensation d’être profondément complexes, évoluées. Dans un soucis d’objectivité, je laisserais aussi la parole à diverses personnes de mon entourage -qu’il soit proche ou moins proche- afin de vous donner un meilleur aperçu du personnage que je suis.

— Prologue.
Je me suis longtemps laissée guidée par le flot de mes émotions, mon amour pour la rationalité laissant peu à peu la place à l’impulsivité qui me caractérise à présent. Enfant, j’étais très sensible ; trop sensible. J’ai eu de nombreux complexes, tout en ayant conscience qu’il s’agissait là de désagréments bien piètres par rapport à ce que d’autres devaient endurer. Ayant eu une éducation tout ce qu’il y a de plus convenable, il n’est pas totalement illogique qu’en de telles circonstances je me gardais bien de me plaindre, tout en m’évertuant à faire avec ma pauvre condition. En réalité, je n’étais pas si laide que cela, je n’avais tout simplement pas remarqué que je n’étais pas la pire lotie, et que ma physionomie était tout ce qu’il y a de plus banale. Mais tout ceci relève du détail, et je n’aurais pas du dévier sur ce petit problème anecdotique. Je vous parlais de mes émotions. J’ai toujours été gouvernée par mes émotions, dont la netteté et l’intensité ont cessé de m’étonner depuis bien longtemps. J’ai été violente, jusqu’à ce que je devienne pragmatique. Je ne me maîtrisais pas, ne me contrôlais pas. J’avais l’impression de ressentir les choses plus vivement que mes petits camarades, mes douleurs semblaient plus vives, mes rancœurs plus aiguisées, mes envies plus ardentes. Les contours des bornes à ne pas franchir m’apparaissaient indistincts, et, par conséquent, j’allais toujours trop loin.

ce que nous voulons savoir ;

épouvantard :
miroir du rised :
maison désirée : si possible à Bichedor d’après le pv, mais personnellement ça m’est un peu égal, et selon moi elle aurait aussi sa place dans les autres maisons, son côté colérique en ferait une bonne Veuvnoir par exemple.
camp : contaminés.
race : marcheurs.

le moldu que vous êtes ;

pseudo : midnight.
âge : 99 ans.
personnalité de l'avatar : Natalia Vodianova.
personnage prédéfini : oui.
comment avez-vous connu le forum ? hmm mail de masse.
suggestions quelconques : pas de suggestion spéciale, mais un sacré coup de chapeau à tirer aux créateurs de ce forum. c’est rare en effet qu’un forum soit aussi étudié et travaillé, et aussi novateur à bien des points. la lecture des règles et des explications n’est pas le moins du monde rébarbative, en fait ce fut même très inspirant. bref, du beau boulot.
code du règlement : If you don't find me they will kick your candy ass.